Devialet améliore son développement après une levée de fonds de 100 millions d’euros

Devialet peut désormais se hisser au niveau international après avoir fait une levée de fond de 100 millions auprès d’investisseurs importants.

Petite entreprise française de son, elle a séduit les amoureux de la musique avec des créations impressionnantes dans le son avec à son compteur, 61 prix internationaux, 31 brevets.

La jeune pépite française, a bénéficier d’un appui financier investi par Ginko Ventures, Foxconn, Playground Global, Renault, Sharp, Roc Nation, l’entreprise de production appartenant à Jay-Z mais également Korelya Capital, le fonds d’investissement lancé par Fleur Pellerin.

Ce groupe entre désormais dans le carré des plus grands investisseurs tels que Xavier Niel, Jean-Antoine Granjon, Bernard Arnault, Marc Simoncini qui sont considérés comme les plus vieux investisseurs.

Fleur Pellerin et Jean-François Baril entreront dans le Conseil d’Administration de Devialet et deviendront des administrateurs. Devialet qui a été créé par trois français (Pierre-Emmanuel Calmel, Quentin Sannié et Emmanuel Nardin) connaît un développement exceptionnel avec 230 travailleurs et un chiffre d’affaires multiplié par deux chaque année.

L’entreprise qui avait commencé par vendre ses enceintes Phantom dans les boutiques Apple a créé ensuite son propre réseau de distribution en ouvrant des boutiques. Elle voudrait désormais se servir de ce fond pour se lancer à la conquête d’autres secteurs tels que la télévision, les objets connectés, l’automobile, qui créent plusieurs milliards de produits par an.

Raison pour laquelle, plusieurs investisseurs n’ont pas hésité à investir dans la pépite française.

« Avec cette levée de fonds, nous entrons dans une nouvelle ère de notre déploiement qui n’est autre que la technologie globale. C’est une fierté pour nous et une joie de recevoir de nouveaux investisseurs qui sont des entrepreneurs également. Ce nouvel investissement, nous permettra de hâter nos productions, mais nous allons aussi nous reposer sur nos moyens pour nous développer dans d’autres continents comme aux États-Unis ou en Asie.